==> Ce n'est pas parceque je ne passe pas ma vie ici (moi !) que je suis "absent"Helmina a écrit :TNZ l'absent

==> Ce n'est pas parceque je ne passe pas ma vie ici (moi !) que je suis "absent"Helmina a écrit :TNZ l'absent
Donc Riou n'aura pas un nouveau bateau dans 4 ans.. PRB diminue les budget ca ne sera que 4 million la fois prochaine (si le VG survie bien sur)si Vincent le souhaite et quel que soit son résultat cette année, il pourra repartir sur le même bateau en 2012
JK a écrit :Le contre-argument développé par vos «rivaux» est que votre bateau est certes plus puissant, mais très dur à mener en solitaire, qu'en pensez-vous ?
C'est en effet l'argument qu'on entend souvent. On s'est bien sûr posé la question, on a fait plusieurs analyses autour du monde et on a vu que ce type de bateau permettait de faire pas moins d'une centaine de changements de voiles en moins autour du monde, par rapport notamment à Véolia qu'on connaît très bien. Parallèlement, on a demandé à différents skippers quelle était la principale difficulté qu'ils rencontraient autour du monde. La réponse la plus courante: les changements de voiles. Physiquement, parce que c'est dur, mais aussi parce que ça fait perdre beaucoup de temps, il faut abattre, se dérouter pendant plusieurs dizaines de minutes parfois. C'est donc du temps perdu au-delà du coût physique. Alors c'est vrai que les voiles sont plus lourdes, qu'il y a plus d'efforts dans les écoutes, mais en revanche, le solitaire sera moins sollicité.
http://www.lessablesdolonne.maville.com ... _actu.htmlEn une bonne semaine, plus de mille heures de labeur humain (jusqu'à 40 personnes) ont été nécessaires pour redonner fière allure au coursier. Jason Carrington, responsable technique chez Hugo Boss, relativise l'ampleur des dégâts, « la casse a peut-être semblé plus importante et compliquée à résorber qu'elle ne l'était réellement », dit-il, comme pour éponger un peu le pathos mis par son skipper dans sa conférence de presse. « Mais, poursuit-il, si la collision avait eu lieu 1,50 m plus en arrière, la structure supportant le gréement aurait été touchée et sans doute qu'on n'aurait rien pu y faire. » Bénéficier d'un peu de chance dans l'infortune de mer a permis de panser plus efficacement la plaie.
Aujourd'hui, le monocoque noir rend un peu plus de poids à Monsieur de Roberval. La prothèse de carbone réalisée au chantier Multiplast de Vannes sur la base du moule de coque de Generali, le voilier de Yann Éliès, l'alourdit de quelques kilos. Tout comme le manchon de renfort installé à l'intérieur du mât. « C'est une bonne réparation », assène Carrington. Reste à la tester. Le bateau doit être remis à l'eau tôt, ce matin. Et retrouver dans la foulée sa place parmi les autres à Port Olona. Dimanche, il prendra la mer. Pour prouver qu'il en a encore dans les membrures.
A mon avis ça ça vaut plus qu'une analyse comparative des bateaux des concurrents.Il reste que pour celui qui les connaît sur le bout des isobares, certains ont une petite longueur d’avance dans ce domaine…. « Des garçons comme Michel Desjoyeaux, Vincent Riou ou Sébastien Josse sont particulièrement performants. Ils ont une grosse rigueur d’analyse et la prise de décision relève chez eux presque de l’automatisme. Quand on commence à avoir quarante ou cinquante jours de mer dans les pattes et que la fatigue commence à se faire sentir, cela peut devenir un atout décisif… »
Sur le site officielSon monocoque 60 pieds : « Ce bateau nous a posé pas mal de problèmes depuis le début. Quelqu'un m'a demandé l'autre jour si je considérais mon bateau comme une personne ou comme un objet. J'ai dû admettre que c'était plus un objet. Ce bateau fait vraiment plus partie de la case « objet », mais avec un peu de chance, il sera performant et je présume qu'avec le temps, je m'y attacherai un peu plus. Je pense que je ne tomberai jamais amoureux de ce bateau, mais peut-être que l'on deviendra ami. Pour l'instant, on ne peut pas vraiment dire que l'on s'entende bien. »