Interview Murray - Sail-WorldHowever from the numbers, and confirmed by Murray, several of the significant teams previously thought to have been disinterested in the 34th America's Cup were represented at the meeting which can be interpreted two ways - either they are more interested than they have led others to believe; or they wanted to get information first hand about the arrangements for the 34th America's Cup.
While Murray would not give the specific names of teams who were represented he did confirm that the teams were 'predominately European based. We had representation from Asia, as well.'
And from his homeland, Australia? 'No there was no representation from Australia. We have had communication with a few groups in Australia but that was it.'
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I think you have to listen to what Russell (Coutts, CEO of BMW Oracle Racing) is saying, as he has been the person as a point of contact and the originator of a lot of this. He thinks there is a minimum result is eight competitors and a good result is probably 12. I would like to think that we are going to have eight competitors. I can certainly see five reasonably clearly, there are a lot of other people talking and it just depends what their expectations are', he adds.
La présentation se faisait à Paris, c'est peu être un début d'explication.Helmina a écrit :Mais tu as vu, les teams étaient tout de même majoritairement européens.Yoyo a écrit :J'imagine qu'ils vont plutôt prospecter du coté des pays émergents, et des monarchies pétrolières, que du coté du vieux continent où le potentiel économique est moins important.
Trois ans pour réussir
La Coupe de l’America est avant tout une guerre économique, qui réussit, comme l’ont prouvé Alinghi et Oracle, aux mécènes passionnés. « Nous devons nous rassembler pour pouvoir gagner. Nous avons trois mois pour répondre à cette question et trois ans pour tenter de démontrer qu'il n'y a pas de fatalité et que la France peut gagner la Coupe de l'America. »
Les frères Peyron n’ont pas attendu pour lancer la machine. Des grands noms de la voile française, comme Franck Cammas, ont été contactés. Les deux Nantais se sont également rapprochés d’un autre projet tricolore, All4One, guidé par Stéphane Kandler et Jochen Schümann, double vainqueur de l’America’s Cup. « Je pense que si nous parvenions à réunir les moyens de cette ambition, nous irions très loin car peu d’équipes pourraient revendiquer une telle complémentarité et un tel potentiel », estime Kandler. Plus loin que France III, battu en finale des Challengers en 1980 ? Les paris sont ouverts.
, loick comme barreur et notre chez allemand comme skipper.. Mais pas sur que les freres Peyron et notre super pro internationnal allemand ce supporte dommage... 
Ils ont visiblement ratissé large. Tout le "fond" français du multi. + Kandler en premier qui a l'air favorable. Bruno au marketing, et Loïck à la technique. Pour Bruno, OK, mais pas OK pour Loïck à la technique. Non pas bon du tout ça. Pas bon du tout du tout ! Loïck en électron libre qui vient prendre la barre et la main sur le bateau en régate, peut-être. Mais certainement pas gérer la technique et encore moins une équipe technique.Gros a écrit :Il manque encore Nicolas Hénard.
Je n'ai pas d'opinion sur la question, mais en même temps que veux-tu qu'ils annoncent d'autre? Que Loick va rester à se tourner les pouces jusqu'à ce que le bateau soit construit, dans 2 ans?Helmina a écrit :mais pas OK pour Loïck à la technique.
