Re: sydney-hobart
Publié : 26 déc. 2015 11:15
ce matin Commanche mène devant Wild Oats et Ragamuffin
Le plateau de maxis sur la Middle Sea Race et sur la Sydney Hobart sont quand même très différent.Dam a écrit : En octobre j'ai fait la Middle Sea Race (autre épreuve de la Triptyque des courses Rolex de 608 miles) sur SFS II (ex-Puma). On finit 4/13 dans la classe des maxis et ca ne m'inspire rien, ni satisfaction, ni déception: je suis incapable de dire si nous avons été bons ou mauvais. On s'applique tout le temps, on dort peu, on se bat, mais l'adrénaline de la course ne vient pas parce les efforts de l'équipage semblent un peu insignifiants. Bref, c'est une drôle de façon de regater même si je la referai avec le plus grand plaisir si l'occasion se représente.
Oui, Reichel-Pugh.gattaca a écrit : Ce sont les architectes d'origine qui ont dessine les modifs?
et tout s’arrête pour une GV déchirée...Tiketitan a écrit :Oui, Reichel-Pugh.gattaca a écrit : Ce sont les architectes d'origine qui ont dessine les modifs?
J'avais lu à l'epoque que le 100 etait trop grand et trop handicape et trop cher..Dam a écrit : C'est un peu le jeu des 7 erreurs ton truc Tik...
Sinon Jean a raison, je relance le débat tous les ans, alors je vais faire attention en 2016.
A la Middle Sea Race il y'avait aussi le nouveau Rambler, un 88' monstrueusement impressionnant.
Par contre il est très différent des autre super maxis type Comanche ou Wild Oats, c'est un VOR en plus gros.
J'ai été très étonné par ce choix: pourquoi "seulement" 88 pieds alors que les grandes courses autorisent 100 pieds, et pourquoi avoir fait un engin clairement typé débridé alors que les autres semblent bien plus polyvalents? Je crois qu'ils veulent s'attaquer au record de l'Atlantique Nord, mais on ne conçoit quand même pas un bateau de 10 ou 15M€ juste pour un parcours d'une semaine?
ben non, sur les vidéos c'est tres clairgloups a écrit :J'avais lu à l'epoque que le 100 etait trop grand et trop handicape et trop cher..Dam a écrit : C'est un peu le jeu des 7 erreurs ton truc Tik...
Sinon Jean a raison, je relance le débat tous les ans, alors je vais faire attention en 2016.
A la Middle Sea Race il y'avait aussi le nouveau Rambler, un 88' monstrueusement impressionnant.
Par contre il est très différent des autre super maxis type Comanche ou Wild Oats, c'est un VOR en plus gros.
J'ai été très étonné par ce choix: pourquoi "seulement" 88 pieds alors que les grandes courses autorisent 100 pieds, et pourquoi avoir fait un engin clairement typé débridé alors que les autres semblent bien plus polyvalents? Je crois qu'ils veulent s'attaquer au record de l'Atlantique Nord, mais on ne conçoit quand même pas un bateau de 10 ou 15M€ juste pour un parcours d'une semaine?
Avec le 88, plus petit aussi rapide, moins d'handicap et normalement moins cher ( surtout a l'entretien et au nombre de bonhomme sur le pont)...
Bref, avec le 88 il pouvait gagner en compence alors qu'avec un 100 c'est beaucoup plus complique..
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Tu peux continuer le jeu des 7 erreurs, il y a quasi toutes les versions de Wild Oats depuis 2005 faites par François Chevalier.Dam a écrit : C'est un peu le jeu des 7 erreurs ton truc Tik...
Sinon Jean a raison, je relance le débat tous les ans, alors je vais faire attention en 2016.
A la Middle Sea Race il y'avait aussi le nouveau Rambler, un 88' monstrueusement impressionnant.
Par contre il est très différent des autre super maxis type Comanche ou Wild Oats, c'est un VOR en plus gros.
J'ai été très étonné par ce choix: pourquoi "seulement" 88 pieds alors que les grandes courses autorisent 100 pieds, et pourquoi avoir fait un engin clairement typé débridé alors que les autres semblent bien plus polyvalents? Je crois qu'ils veulent s'attaquer au record de l'Atlantique Nord, mais on ne conçoit quand même pas un bateau de 10 ou 15M€ juste pour un parcours d'une semaine?
Et pour les caractéristiquesLe propriétaire, George David, désirait un grand bateau pour gagner les courses ayant un tirant d’eau limité à 6 mètres ! JK lui aurait bien proposé un 100 pieds, mais le tirant d’eau aurait dû faire un mètre de plus.
Rambler 88 est conçu, comme ses ainés, pour battre des records et arriver en tête dans les courses offshore. Réalisé tout en carbone, le “petit“ monstre présente toutes les caractéristiques de ses derniers concurrents, dont le Comanche conçu par VPLP et Guillaume Verdier et mis à l’eau trois mois plus tôt. Ses formes avant, une étrave pleine et un bouchain qui rappelle celui des coques centrales des trimarans océaniques, sont très tendues, peut être encore plus que les Maxis précédents. Cette configuration de bouchain, avec une vraie cassure, permet entre autres de rejeter les embruns sur le côté, au lieu de les envoyer directement dans le cockpit, comme c’est le cas sur les Volvo 65. Bien évidement, ce bouchain permet de conserver une bonne réserve de flottabilité dans les hauts, malgré une flottaison étroite. Dans ce sens, Rambler 88 est bien le descendant du Groupama vainqueur de la dernière Volvo, et va même un peu plus loin dans ce sens par rapport à Comanche. À partir de l’étrave, les fonds sont plats pour favoriser un départ au planning, et s’arrondissent progressivement.
Les dérives sont du même type que celles de Comanche, que l’on trouvait déjà sur certains Volvo 70. Elles se terminent par un rétrécissement et un bulbe, qui empêchent les filets d’eau de partir en vrille et de détériorer l’écoulement de l’eau sur la partie la plus basse. Elles sont légèrement inclinées vers l’intérieur et se trouvent en dehors du prolongement des safrans.
Pour ses safrans, Juan K a préféré privilégier la partie inférieure, où les trois bosses recollent les filets de la partie supérieure, présentent l’avantage d’un accroissement de portance et réduisent l’effet de vortex sur l’extrémité. De plus, la partie immergée du second safran, qui présente un angle avec celui qui est immergé et dans l’axe de la route, offre, grâce aux bosses, une amélioration de la traînée de l’ordre de 10%, comme l’a démontré le professeur Fish