Forum de Cup In Europe

Bon, cette ultime course, la n°11, fut presque un "copier-coller" des races 9 et 10 de mercredi dernier. Un départ à égalité avec Ineos Britannia sous le vent et Luna Rossa au vent. Et assez rapidement, les britanniques ont réussi à prendre la tête, pour ensuite contrôler superbement leur adversaire pendant toute la course. Là, nous avons vu qu'ils étaient un peu meilleurs que les italiens dans la brise. L'écart était faible, mais suffisant, à chaque fois. Bravo aux britanniques ! La confrontation avec Emirates Team New Zealand promet !

Bravo à Inéos.
Très bonne gestion des départs et du contrôle de Ben Ainslie et Dylan Fletcher. 7 départs gagnés sur 11.
A voir face à Peter Burling...

Une petite observation au passage, les deux finalistes de la LV cup étaient ceux qui avaient un LEQ12.
Cela sera t'il encore un avantage contre TNZ?

Sur les règles RRSAC la définition est changée en:
'A boat keeps clear of a right-of-way boat
(a) if the keep clear borders do not intersect,
(b) if the right-of-way boat can sail her course with no need to take avoiding action and,
(c) if the right-of-way boat can also change course in both directions without its keep clear border
immediately intersecting the keep clear border of the keep clear boat.'
La règle C s'applique même si les bateaux ne sont pas engagés sur l'AC, alors que dans les règles classiques elle (la (b) ) ne s'applique que s'ils sont engagés et qu'il y a risque de contact.
Pour avoir échangé sur le sujet avec des personnes bien plus compétentes que moi, en match race les règles sont utilisées pour obtenir une position de contrôle (empêcher ou forcer un bateau à faire quelque chose, virer, partir dans un dévent, rater sa layline, ...) et pas pour infliger des pénalités à l'adversaire. Chercher la pénalité est en général une très mauvaise idée.

Les règles sont probablement appliquées avec plus de précisions (vus les moyens mis en œuvre) qu'en match classique, mais ne pas oublier par exemple que dans les règles, un bateau dont l'étrave est au dessus du tableau arrière du bateau de devant se maintient à l'écart (et donc pas pénalisable) (CALL B17, l'image fait peur).
[/quote]
Merci pour les précision je comprends mieux maintenant!

Bon j'avais parïé sur INEOS ,avec un pote ,j'ai donc gagné ma gueuse !
mais ça , c'était de froide analyse
mon favori de coeur c 'était PRADA....

La vie est bizarre non ?

En tout cas des splendides manches .....

On a pu voir sur l'eau hier pendant les régates des womens qu'OE était sur l'eau. Plutôt de bonne augure pour une suite.
Si j'ai bien compris la vidéo de Mozzi, Inéos a progressé dans la compétition en améliorant au fil du temps son logiciel interne. Le logiciel de nav est fourni par l'organisateur. Tom Slinsgby d'AM a suffisamment râlé à ce sujet. Lors de la final de la LV cup on voyait Qu'inéos était plus stable que Prada. Certain ont émis un doute en disant qu'ils avaient un pilote automatique, interdit bien sur.
Début des combats aujourd'hui. Encore du suspens.

QUI VA GAGNER LA COUPE DE L'AMERICA ?

Le Match de la 37e Coupe de l'America débute dimanche à Barcelone entre Ineos Britannia et Emirates Team New Zealand, qui va tenter la passe de trois. Pour évaluer les forces en présence, Tip & Shaft s'est appuyé sur Franck Cammas, directeur de la performance d'Orient Express Racing Team, Nicolas Charbonnier, barreur/régleur d'Alinghi Red Bull Racing, Dimitri Despierres, chef du département mécatronique d'American Magic, et Philippe Presti, coach au sein de Luna Rossa Prada Pirelli.

Un peu plus de deux ans et demi après une 36e édition conclue à Auckland par la victoire 7-3 d'Emirates Team New Zealand face Luna Rossa Prada Pirelli, le défi néo-zélandais défend de nouveau son titre face à son challenger of record, en l'occurrence Ineos Britannia. Pour la première fois depuis qu'elle a été créée en 1983, la Coupe Louis Vuitton, compétition éliminatoire entre challengers, est en effet tombée dans l'escarcelle d'une équipe britannique, qui entretient donc son rêve de reconquérir un trophée abandonné aux Américains lors de la première édition en... 1851.

Et pour les quatre experts interrogés par Tip & Shaft, la victoire des hommes de Ben Ainslie est une surprise. "Si tu m'avais posé la question après la Preliminary Race (dont les Anglais ont pris la 4e place fin août), je ne les aurais pas imaginés gagner la Coupe Louis Vuitton, résume Franck Cammas. Il y a eu un « cut » assez prononcé entre les deux round robin, ils ont acquis une solidité qu'ils n'avaient pas auparavant et on a senti dans ses commentaires que le niveau de confiance de Ben Ainslie avait changé du tout au tout, c'est l'équipe qui a le plus progressé."

Dans quels domaines ? Si Nicolas Charbonnier estime que les Britanniques ont su durant l'été gommer des défauts apparus sur leur AC75 - "ils n'ont pas hésité à couper un bout de la coque en dessous, car ils avaient sans doute été un peu ambitieux au niveau aéro en voulant pousser l'effet de plaque, mais avec les vagues, ça traînait souvent" -, tous estiment que c'est avant tout au niveau de la tenue du bateau qu'ils ont progressé. "Il y a quelques mois, ils étaient très instables quand ils volaient, alors que maintenant, dans les manœuvres, les transitions, c'est tout le temps propre", poursuit ce dernier.

Avantage Team New Zealand

"Contre les Italiens, ils sortent du lot grâce à la stabilité de leur vol, abonde Dimitri Despierres. C'est de l'ordre du pouillème, mais à ce niveau, ça fait la différence. Je pense que leur utilisation différente des cyclistes, avec quelqu'un dédié au trim, à savoir le réglage longitudinal du bateau, un autre au vol, leur a permis d'être un peu plus constants, là où Prada a fait quelques erreurs. Et sur ces régates, il suffit d'une erreur pour que le match soit terminé." Beau joueur, Philippe Presti confirme : "Ils ont utilisé plus de purs marins à ces postes de fournisseurs d'énergie, avec l'avantage de faire des régulations que nous n'étions pas forcément capables de faire de notre côté. Leur progression se situe vraiment là, dans la coordination et le partage des tâches."

Les conditions de la finale de la Coupe Louis Vuitton, disputée majoritairement dans du vent plutôt fort, ont également joué en faveur de l'AC75 britannique, plus à l'aise au-delà de 12 nœuds, la fiabilité aussi, Luna Rossa ayant renoncé à prendre le départ de la troisième manche et abandonné lors de la septième. Autant d'atouts qui ne seront pas de trop au moment de défier le tenant du titre, le premier à sept victoires gagnant le droit de soulever l'aiguière d'argent tant convoitée.

Nos quatre experts estiment cependant que le defender reste en position de force. D'abord parce que, selon la plupart d'entre eux, le bateau kiwi leur semble plus performant, en tout cas plus polyvalent que son rival. "Dans le petit temps, les Kiwis ont clairement l'avantage, note Dimitri Despierres, au point que si le Match se joue dans 6-9 nœuds, j'ai peur ça se termine sur un 7-0." Franck Cammas abonde : "Dans le petit temps, les Néo-Zélandais ont montré des choses assez extraordinaires. Malgré leurs petits foils, ils sont capables de voler très vite avec peu de toile, je les ai rarement vus mettre un J1 dans ces conditions, alors qu'il y a le risque de se poser, c'est assez étonnant et ça montre qu'ils maîtrisent très bien la partie hydrodynamique."

Et si Ineos Britannia a brillé dans du vent soutenu, le même Franck Cammas estime que dans ces conditions également, les Néo-Zélandais ont leur mot à dire : "On a vu des sorties d'entraînement assez impressionnantes de leur part, avec de la vitesse, une capacité à manœuvrer dans des conditions difficiles, on les sent sereins, ils ne sont pas dans la retenue." Nicolas Charbonnier estime cependant que "des conditions avec beaucoup de vagues peuvent avantager Ineos qui n'a pas les espèces de bulbe sur les foils de Team New Zealand, synonymes de traînée quand ils sont immergés, l'état de la mer peut favoriser les Anglais."

Ben Ainslie vs Peter Burling

Reste que contrairement à Ineos Britannia, engagé sur la Coupe Louis Vuitton, le defender, "après s'être servi des deux rounds robins pour valider ses performances, a eu un mois pour faire évoluer son bateau, je ne serais pas étonné de les voir encore plus rapides", note Philippe Presti. "Depuis, ils ont fait des nouvelles voiles, des modifications sur les foils, c'est rare qu'ils se trompent dans leurs évolutions", ajoute Franck Cammas.

Cela signifie-t-il que le match est plié d'avance ? Aucun de nos experts ne le pense, d'abord, parce que, comme l'explique Philippe Presti, si des différences existent entre les bateaux, elles sont bien moindres que lors de la 36e édition : "Sur la dernière Coupe, on est à 3-3 au début, alors qu'on devait être plus d'un nœud et demi plus lent qu'eux en VMG ; là, on parle de dixièmes de nœud." D'où l'importance du match racing pur, domaine dans lequel, pour nos interlocuteurs, les Britanniques partent avec un avantage dans la mesure où ils sont sur la lancée de la Coupe Louis Vuitton, là où le dernier match de Team New Zealand remonte au 9 septembre. D'où le risque pour ce dernier d'être "un peu rouillé", selon Nicolas Charbonnier.

"Le challenger a fait une vingtaine de matchs supplémentaires à très haut niveau et de plus en plus serrés, ce qui l'a fait beaucoup progresser dans les phases de pré-départ et de vitesse pure, c'est le meilleur entraînement possible, que n'ont pas eu les Néo-Zélandais", confirme Franck Cammas. Or, selon Philippe Presti, "ça va vraiment se jouer sur la phase de départ et la façon dont le bateau de devant va contrôler la situation. Il faut être devant au premier croisement et ne plus faire d'erreurs, car ensuite, c'est très difficile de doubler."

Au jeu de la régate, Ben Ainslie et Dylan Fletcher, l'autre barreur de l'AC75 d'Ineos, peuvent-ils damer le pion au duo Peter Burling-Nathan Outteridge ? "Les Kiwis se sont clairement renforcés avec Nathan Outteridge, c'est un groupe hyper solide. Maintenant, Ben est le plus grand régatier de l'histoire de la voile, quatre fois champion olympique, une fois vice-champion, il a déjà gagné la Coupe (en 2013 avec Oracle), il navigue depuis plusieurs saisons sur SailGP, quand il a son projet bien en tête, il délivre pas mal", sourit Nicolas Charbonnier.

"Ben Ainslie est quelqu'un qui fait peur. Quand il est dans la bonne concentration, c'est un adversaire très coriace, il peut y avoir chez ses rivaux une certaine réticence à aller trop se frotter à lui sur les phases de contact", ajoute Franck Cammas. Dimitri Despierres se montre plus nuancé : "En face, il y a aussi des champions olympiques, qui ont navigué en Moth ou en 49er, des bateaux plus proches du vol qu'un Finn." L'ingénieur d'American Magic a le mot de la fin : "Quoi qu'il arrive, on va vivre un moment d'histoire : d'un côté, ce serait extraordinaire que la Grande-Bretagne remporte la Coupe après l'avoir perdue en 1851, de l'autre, aucune équipe n'a gagné trois fois d'affilée dans les temps modernes."

Nouveau safran extra fin pour ETNZ.

Bon ben prochaine coupe a Abou Dabi je suppose..
bon je me lâche Pourquoi les arabes sont ils habillées avec des draps? parce qu 'ils sont a bout d'habits

Belle victoire de TNZ qui n 'est peut être pas la dernière du Team
Comment aller les chercher ? la grande question....

on a compris que Big Ben a envie d'y retourner
que Prada y retournera
les francais comme d'hab a la der de la der

et un silence assourdissant du coté d'Alinghi...
Ohohohoho Ernesto tu y penses en te rasant ?

cup legend :

La Coupe à peine finie, les équipes se projettent déjà vers la prochaine et cela passe par le choix du Challenger of Record. Cela devrait être à nouveau l’équipe Anglaise emmenée par Sir Ben Ainslie. Les relations avec le Defender se sont très bien passés. On pourrait même reprocher à Ben d’avoir dit oui à tout.
Celui-ci ne partirait pas dans la prochaine édition avec INEOS mais un autre partenaire milliardaire. Côté challenger, le bateau restant l’AC75, on sait qu’il y aura déjà les Suisses et les Italiens. Les Américains attendront de connaître le lieu de la prochaine édition mais devrait être présent également. Idem pour les Français même s’il reste à confirmer les partenaires principaux. Un challenger australien ou Espagnol pourrait également rejoindre le groupe.
Concernant le lieu de la prochaine Coupe, les rumeurs entourent Valencia, Djedda et Istanbul. Grant Dalton devrait annoncer des choses assez vite. Il souhaite que la prochaine redémarre en janvier 2026. A suivre.

bugs a écrit : ↑20 oct. 2024 08:47 cup legend :


Celui-ci ne partirait pas dans la prochaine édition avec INEOS mais un autre partenaire milliardaire. Côté challenger, le bateau restant l’AC75, on sait qu’il y aura déjà les Suisses et les Italiens. Les Américains attendront de connaître le lieu de la prochaine édition mais devrait être présent également.

Je suis curieux de savoir d'ou tu tiens que les suisses continue parce que j'aurai raté la déclaration d'Ernesto Bertarelli

info de cup legend

J'aimerai LE LIEN internet sur cette info.......

Bon en absence de lien sur une page sérieuse je dirais qu 'Alinghi,a ma grande surprise ,n 'a fait aucune déclaration,nada

je subodore qu une participation est envsagée mais qu' Ernesto attends de voir l'air du buro
devoir dialoguer avec la perfide Albion ne dois pas l'enchanter
par contre si la coupe est a Dubai je pense que c 'est pas trop loin donc envisageable
un mix TNZ-Britania-Auckland serait moins sexy
mais ce n est que mon ressenti

la collection de vêtement Alinghi Red Bull a été bradée

j'ai vu l'info Cup Legend
Qii n 'ai pas etayéé par un lien

Si Ernesto avait fait une déclaration officielle la presse suisse romande en aurait fait un titre
mais j'ai rien vu.....

leloublan a écrit : ↑25 oct. 2024 15:01 J'aimerai LE LIEN internet sur cette info.......

Effectivement, je n'ai pas mis le lien de l'article, étant donné que je l'avais posté en entier. Rien de plus avec le lien.

C'est à Ludovic qu'il faut demander sa source. Comme c'est l'hébergeur du forum, peut-être répondra t'il?

bugs a écrit : ↑25 oct. 2024 19:25

leloublan a écrit : ↑25 oct. 2024 15:01 J'aimerai LE LIEN internet sur cette info.......

Effectivement, je n'ai pas mis le lien de l'article, étant donné que je l'avais posté en entier. Rien de plus avec le lien.

C'est à Ludovic qu'il faut demander sa source. Comme c'est l'hébergeur du forum, peut-être répondra t'il?

je pense que c'est un voeu optimiste ! Et je vais attendre la déclaration d'Alinghi
la ca doit être analyses et debriefings Il y a des enseignements a tirer de cette contre performance
c 'est un autre Alinghi qui pourrait naître ,moins genevau -genevois
je pense qu on pourrait attendre le temps de la désignation du lieu de la 38 ème
Et croiser les doigts pour qu 'il n'y ai pas de prise de tête avec le COR britton
La competition d'ego entre milliardaire commence bien avant la compétition sur l'eau

bugs a écrit : ↑25 oct. 2024 19:25
Effectivement, je n'ai pas mis le lien de l'article, étant donné que je l'avais posté en entier.

Un vol en somme !

Rien de plus avec le lien.

si ... la source ..... et une part du contexte ....

Excuse moi, mais la source est clairement identifiée, ouvre les yeux.

Revenons au debut de la conversation : ce que demandais leloupBlanc.
Il disait qu'il n'y avait pas de lien vers une communication officiel du defi suisse. Et en effet pour l'instant on a que des suppositions des bruit de couloir ou des on dit. leLoupBlanc demandais les source. Et meme si Ludovic est bien renseigné, il l'a fait a partir du regropement d'info mais pas a partir d'un communique officiel.
Et comme leLoupBlanc est suisse il aime la précision, et donc tout comme saint thomas il ne croit que ce qu'il vouit
Apres je me souviens moi aussi d'un itw de Bertolli qui dissait qu'il etait la pour apprendre mais comme ca il serait pres pour la suivante...