gloups a écrit :Arreter avec ette histoire d'assitance...Debat clos...

Débat clos, débat clos ! Gloups aussi directif, on aura tout vu ! Et ceux qui arrivent après alors, ils ne peuvent pas donner leur avis ?! ?
Ce qui me paraît toujours très curieux c'est que certains semblent découvrir (ou ont semblé découvrir au cours de ce VG) qu'on pouvait être aidé par téléphone ou mail sur le plan technique. Ca fait des lustres que les gens de ce forum suivent le VG et ça fait des lustres que ça existe, et qu'on le vit au fil des VG… Et ce n'est pas une tolérance, c'est précisé dans les principes fondamentaux. Il y est décrit ce qu'il convient de comprendre par "en solitaire" et "sans assistance" et mentionné les contacts autorisé en cas d'accidents ou d'avaries, bien différenciés de ce qui est nommé "assistance extérieure". Bien évidemment on peut ne pas être d'accord avec ces principes et avec ces nuances. Mais elles ont leur raisons. Comme le dit gloups, ce n'est pas comme sur la Volvo ou la BWR. Et c'est assez dur de faire tout seul le tour entier sans s'arrêter en arrivant entier. Donc, c'est tout simplement pour éviter de se retrouver avec 3 pékins à l'arrivée qu'il leur est possible de se faire conseiller sur le plan technique pour réparer. On peut avoir préparé son matériel de spare au mieux et avoir bien potassé pour savoir s'en servir, mais (avec toutes les technologies modernes notamment) on ne peut pas tout savoir sur tout. Qu'on se souvienne d'un Desjoyaux pleurant devant son moteur impossible à démarrer ou d'un Le Cam paumé au milieu de tous les composants de son antenne de fleet démontée sur le pont… Et du paquet de compétiteurs qui n'auraient jamais pu finir sans quelques conseils techniques pointus. Tiens, plus récemment tout le monde a suivi la consolidation de la cloison du bateau de Jourdain, c'était haletant et tous les jours on avait des infos des archis et du chantier qui étaient en lien avec lui. Pourtant personne ne chouinait qu'il était assisté et il a même été surnommé Mac Gyver ! On peut vouloir changer ça, pourquoi pas. Mais s'en étonner ici, vraiment… je ne sais pas mais… les bras m'en tombent !
Sur la perte de quille je trouve que les questionnements de LLB ont du sens. Mais on peut se demander alors comment hiérarchiser les degrés d'avarie. Si on posait une limite d'un niveau d'avarie qui devrait conduire à l'abandon et qu'on y mettait les quilles, pourquoi pas les mâts, les safrans, les pilotes, ou que sais-je ?…. Et puis à quel moment jouerait la limite ? Un morceau de quille, toute la quille… ??? Ca me parait impossible à prévoir sans risque d'IC (la fameuse imbécillité rétroactive) et ça pourrait facilement prendre la pente du détestable fanatisme sanitariste (que j'ai déjà évoqué au sujet des portes). Là, on renvoie simplement la personne à la responsabilité de son sens marin. Comme l'a été Stamm d'ailleurs. Ca a du sens aussi. Et puis même abandon, ça n'empêcherait pas de devoir rallier un abri et de faire prendre d'éventuels risques aux secours. Et à ce propos, LLB, en ce qui concerne le potentiel plongeur asphyxiable, les concurrents sont tenus de prendre une assurance au tiers spécifique (en plus de la RC).